Affûtez les compétences de demain de vos collaborateurs et passez à l’action !
Vous trouverez ci-dessous les 6 principales influences pour ce processus:
Gestion des tâches externalisées
En savoir plus ...Capacité à concevoir, effectuer et interpréter des tests in silico
En savoir plus ...La bio-informatique, une discipline complémentaire
En savoir plus ...Faire des systèmes de gestion de l’information des outils de travail
En savoir plus ...Mise en place d’autres formes de collaboration
En savoir plus ...Flexibilité accrue dans l’organisation du travail
En savoir plus ...Principales influences au sein de ce processus
Gestion des tâches externalisées
Si vous externalisez certaines tâches, c’est généralement que vous ne disposez pas de l’expertise nécessaire en interne pour les exécuter. Vous avez néanmoins besoin de collaborateurs qui décriront les missions à externaliser, qui discuteront avec les experts externes et qui assureront le suivi et interpréteront à distance l’avancement et les résultats. Comparativement au travail réalisé en interne, vous devrez également être doublement vigilant au respect des règles et des conventions.
Capacité à concevoir, effectuer et interpréter des tests in silico
La nouvelle génération d’outils et de sources de production de données se manifestera dans les travaux de recherche et d’essai. Le laboratoire sera, plus encore qu’aujourd’hui, remplacé par le travail informatique. Les tests in silico auront de plus en plus tendance à substituer les tests in vitro et in vivo. Il s’agira alors de pouvoir concevoir, effectuer et interpréter ces tests. L’interprétation concerne principalement les implications de l’application in vivo des résultats in silico. Les collaborateurs devront comprendre correctement les hypothèses sur lesquelles reposent les modèles testés et percevoir ce que les résultats (ne) révèlent (pas).
La bio-informatique, une discipline complémentaire
La nouvelle génération d’outils et de sources de production de données crée des opportunités d’alimenter la recherche et le développement du point de vue de la bio-informatique, une discipline nouvelle et peu familière pour de nombreux chercheurs aujourd’hui. Puisque la bio-informatique jouera un rôle clé dans le développement de produits à l’avenir, les collaborateurs devront la maîtriser, ou du moins comprendre et intégrer les contributions des experts dans leurs processus.
Faire des systèmes de gestion de l’information des outils de travail
Dans le contexte R&D, la numérisation conduit à des développements tels que le LIMS (Laboratory Information Management System). Ce type de système centralise et met à disposition toutes les informations sur les échantillons. Il s’agira d’outils de travail importants pour les chercheurs et les développeurs, qui devront les gérer efficacement et échanger des idées et du feed-back avec les fournisseurs/experts dans le domaine.
Mise en place d’autres formes de collaboration
Les nouveaux marchés, les produits complexes ou ceux qui contribuent à réduire l’empreinte écologique exigent une réflexion et une collaboration hors du commun. Les interactions ne se limitent plus aux habitués et ne sont plus (uniquement) basées sur des transactions traditionnelles. Elles se concentrent, au contraire, sur de nouveaux échanges avec des partenaires atypiques : concurrents, clients finaux, institutions du savoir issues d’autres secteurs, etc.
Flexibilité accrue dans l’organisation du travail
Miser sur de nouveaux marchés, matières premières ou technologies brise le statu quo. Les collaborateurs doivent (avoir la volonté de) s’adapter à ces nouvelles attentes et s’organiser en conséquence. On attendra même d’eux qu’ils embrassent ces évolutions qui rompent avec leurs routines quotidiennes ou leurs habitudes de longue date.
Quelles compétences en seront affectées?
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Comprendre les contributions des experts dans des disciplines différentes ou variées
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Tenir compte des changements dans les projets, les priorités, les objectifs et la composition de l’équipe
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Interpréter les constatations (externes), les résultats des tests et analyses et les contrôles de qualité (internes)
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Suivre, contrôler et évaluer l’avancement interne d’un processus de recherche et/ou de développement par rapport aux critères définis en interne et aux développements extérieurs au projet (au sein de sa propre organisation, chez les clients, chez les concurrents, etc.)
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Veiller au respect des règles et procédures et à la documentation correcte des actions, paramètres et anomalies dans le cadre de la recherche et du développement
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Utiliser et appliquer des méthodes et outils de recherche et de développement (appareils, logiciels) dans le cadre d’essais, d’analyses, de contrôles de qualité et de production à petite échelle